31 juillet 2018

Ce que j'aime dans mon job à la Walt Disney Company : vous !

  (Enfin, avant tout, je me sens obligée de préciser que je n'englobe vraiment pas tout le monde dans ce "vous" bien générique, mais je vais y revenir.)


  Certains le savent peut-être, mais je travaille en tant que vendeuse au sein de Disneyland Paris et, juste avant, j'ai pu travailler deux mois à Walt Disney World — vous pourrez retrouver en lien tout mon parcours sur ces deux aventures, notamment si vous souhaitez postuler pour ces deux parcs. D'autres encore le savent, mais je n'aime pas spécialement ce job — être Bac+5 et être traitée comme..., les conditions de trav... ah non ! je n'ai rien dit ! Pardonnez, tout est excellemment positif, j'adooooore mes employeurs, l'ambiance, tout !
  Du coup, pour ne pas totalement vous dégoûter, rétablir une balance et vous trouver un autre justificatif faisant que je ne démissionne pas sur-le-champs que "Je joue la carte de la sécurité en attendant la construction de mon appartement", je me suis dit qu'un petit tour sur les épisodes émotionnels les plus forts que j'ai pu vivre serait sympathique.

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  ✒︎Walt Disney World

  Ceux qui me suivent depuis un moment déjà auront sûrement déjà pris connaissance de mon parcours en Floride, mais je peux vous y renvoyer si cette expérience est susceptible de vous intéresser. Quoiqu'il en soit, la population des Guests étaient bien différente là-bas et j'en garde un excellent souvenirs. Et trois en particuliers.

  Le premier, c'était lors d'un de mes trash run, Miss Propreté dans ma charmante tenue blanche (oui, ceci est extrêmement ironique, je peux vous laissez en juger), je passe près d'un couple assis tranquillement à contempler les alentours, petite pause dans la chaleur estivale d'Orlando, l'orage n'ayant pas encore éclaté, l'un me lançant que je suis quelque chose comme fabuleuse dans ma tenue et son compagnon de confirmer. Alors, je n'ai pu en croire un traître mot et ai tout misé sur mon bronzage on point mais j'ai été très flattée, les ai chaleureusement remercié et ai eu ma journée illuminée par ces deux anges !


  Le second, à la fermeture du parc. Nous avions coutume de saluer nos Guests du jour à la fin du show, avec un gant de Mickey et notre sourire le plus chaleureux — et il était sincère; vraiment, le job semble plus ingrat que celui que j'ai actuellement mais était incroyablement plus gratifiant; comme quoi. Un soir, une petite fille s'est détachée du flot des Guests pour venir me faire un énorme câlin tant sa journée fut géniale ! J'en ai été incroyablement émue et c'est à dessein que j'utilise ce terme puisque j'ai une sainte horreur des enfants, je ne supporte pas leur compagnie et les évite au maximum. Ce geste était tellement naturel, sincère et plein de ses émotions que j'en ai eu les larmes aux yeux et que ça me chamboule toujours autant —  à noter que la même chose s'est reproduite deux fois à Paris, une fois à Meet Mickey et une autre au Pavillon des Princesses; parfois, les enfants peuvent être cool.

  Le troisième était au Pavillon français, un matin très tôt (suffisamment pour qu'aucun des Pavillons ne soit encore ouvert, à l'exception du norvégien, accueillant le petit déjeuner avec les Princesses). J'entendais une famille québécoise un peu perdue avec la mère de famille qui s'apprêtait à venir à ma rencontre : "Olala ! Comment on dit, déjà ? Hum... Hello! Do you know... Rah mince ! It is the..." moi qui pensais que tous les Québécois étaient, sinon bilingues, d'un bon niveau en anglais, j'étais surprise de constater que ce n'était pas le cas, et un peu amusée. Du coup, lorsque je lui ai dit que je pouvais l'aider plus facilement, étant française, nous avons toutes deux ri et avons un peu échangé. Le pouvoir des langues et la magie des voyages, en quelque sorte. Nous sommes tous connectés, nous pouvons tous nous brasser aux autres et c'était un bon moment.


  ✒︎Meet Mickey

  J'ai eu pas mal de bons souvenirs sur cette boutique, mais un me semble intéressant à rapporter et un autre pour vous faire tirer le même "Aww!" que nous avons tous poussé, avec une moue attendrie (et ridicule de niaiserie, haha !).

  Ici, il va surtout s'agir de vous faire comprendre une chose : la vie est infiniment plus cool quand nous sommes civilisés — ça semble fou, je sais ! Une journée incroyablement plate, une famille toutes les deux minutes alors que pour un point de rencontre (avec le boss, qui plus est), la file d'attente se fait habituellement sentir. Une mère et ses deux grands enfants sortent d'une loge, tout heureux, nous saluant, s'apprêtant à sortir... et revenant sur ses pas. "En fait, je veux bien voir les photos." Aucun soucis, voilà qui allait enfin m'occuper un peu. Elle a arrêté son choix sur deux d'entre elles et, à la fin de la transaction, me glisse : "Vous savez, je n'étais pas partie pour acheter des photos, mais comme vous étiez souriante, je me suis arrêtée !" Son commentaire m'a profondément touché. En dégageant un sentiment positif, vous pouvez irradier sur les autres. Et entretenir un cercle vertueux. Certes, ça ne marche pas à tous les coups, mais essayez ! Surtout quand vous êtes face aux Cast Members qui font tout pour vous faire passer un bon moment, essayant de dépasser des ondes négatives que certains dégagent, sans parler de leurs conditions de travail. Alors merci pour nous. Merci pour eux. Et merci pour vous.

  Place maintenant à l'anecdote "Aww!" Vous vous en doutez, des demandes en mariage, nous en avons vu à la pelle... mais celle-ci restera ma préférée car bien plus originale et marquante pour la future mariée qu'un genou à terre devant Mickey. Il y avait tout un groupe en plus des fiancés en devenir, un vrai clan à qui le mérite revient également. Une fois les photos faites, tout le monde attendait leur venue sur les écrans à la sortie de la loge, et c'est là que la magie opéra. Dans un coin, il y avait le couple, rayonnant et j'aurais tout donné pour avoir pu découvrir la réaction de Mademoiselle face à cette photo qui s'affichait sur laquelle, de part et d'autre de Mickey, ses proches tenaient chacun une pancarte avec son prénom et les mots "VEUX-TU" "M'EPOUSER" ? MAIS BIEN SÛR QU'ELLE VEUT T'EPOUSER !! C'est tellement adorable !! Herm... excusez-moi. Bref, voici une partie très sympa du boulot.


  ✒︎Pavillon des Princesses

  Il y a beaucoup de choses dont je me souviens en bien, au Pavillon des Princesses; beaucoup d'émotions, quelques larmes aux yeux mais j'ai décidé de ne choisir qu'une anecdote, ici. Une famille de trois du Moyen-Orient, absolument adorable, qui était venue célébrer l'anniversaire de la fille à Disneyland Paris. Rien que de très classique, me direz-vous. Sauf qu'ils m'ont raconté tout leur périple, en toute simplicité, sans vantardise, sans arrogance, mais avec la joie du moment. En fait, il s'agissait d'un voyage surprise... et ils avaient poussé la surprise à son paroxysme ! En effet, ils avaient planifié tout un voyage en Europe, dans divers villes et divers pays, tout ça en pur prétexte pour finalement arriver à Marne-la-Vallée, bander les yeux de l'enfant et lui faire cet ultime cadeau, une fois à l'intérieur du parc. Ils étaient tellement enthousiastes, nous nous étions si bien entendu et la petite était si douce que je me suis arrangée pour qu'elle puisse voir une deuxième Princesse, chose à laquelle ils ne s'attendaient pas et qui m'aura valu un câlin de cette petite puce.


  ✒︎Galerie Mickey

  Pour rester dans cette thématique de douceur familiale, j'ai pu rencontrer une famille anglaise qui m'aura également marqué. J'étais en train de prendre leur rendez-vous pour la prestation Princesse d'un jour et pendant que la mère faisait le tour des robes avec la petite d'à peine quatre ans, le père m'expliquait qu'ils venaient d'avoir un autre bébé et que, comme l'attention des proches avait été naturellement porté sur le nouveau né pendant un moment, pour ne pas que leur aînée se sente délaissée, ils avaient planifié ce dernier séjour à trois, avant d'entamer leur nouvelle vie à quatre. Rien que d'écrire ces lignes, j'en ai encore la chair de poule et les trémolo dans la gorge. Un pur amour familial. Ils étaient tellement adorables, on sentait réellement des parents aimants, qui feront des merveilles de leurs enfants. La petite avait opté pour une robe de Cendrillon à laquelle les accessoires ont été ajoutés par les parents... et une petite surprise par moi-même, qu'ils allaient tous trois découvrir le lendemain, en venant récupérer le tout pour leur rendez-vous. En effet, j'avais pris soin de leur adresser une touche de magie en sélectionnant deux porte-clés symbolisant les enfants, avec un petit mot adressé à l'aînée, lui disant qu'elle allait assurer dans son nouveau rôle. Ils en avaient été très touchés et ils m'auront fait une telle impression que j'ai décidé le jour-même d'acheter un charm Pandora en verre de Murano, celui de la collection de Cendrillon, afin de les symboliser eux, mais également toutes les incroyables familles et Guests que j'ai pu rencontrer dans le cadre de mon travail.


  Ici aussi, j'aurais encore quelques souvenirs marquants, mais j'ai préféré n'en garder qu'un, mon préféré. Je pense d'ailleurs que c'est ma rencontre favorite sur ces trois dernières années sur le parc.


  ✒︎Mes Guests spéciaux

  Enfin, il y a la catégorie des Guests que nous croisons si souvent qu'ils en deviennent des familiers que nous retrouvons à l'extérieur. C'est quelque chose que j'ai pu pleinement trouver lorsque je travaillais sur des points photos, et je dois dire que de ne pas croiser leurs petites têtes aussi souvent me manque.
  Aussi, il y a vous, lecteurs ou followers sur les socials. J'ai pu en rencontrer quelques-uns sur mon lieu de travail et, même si cela me fait toujours bizarre (je ne suis personne, après tout !), ça me fait toujours plaisir de pouvoir échanger avec vous.

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  Voyez, il y a tout de même quelques toutes petites pépites de magie qui arrivent jusqu'à moi.
  Je ne peux que vous exhorter à prendre modèle sur ces Guests, non seulement auprès des Cast Members qui font un travail de dingue et ont des rythmes de vie qui leur imposent de prendre énormément sur eux pour vous faire passer un agréable séjour, mais également avec vos proches.
  La bienveillance devrait être maîtresse de tout.

—xoxo

9 juillet 2018

De la révolte à l'épanouissement — Mes lectures du mois (d'avril à juin 2018)

  Oui, ça commence à faire un petit temps que je n'ai pas partagé mes lectures, et elles ont été assez diverses ces trois derniers mois.
  En avril, j'ai rapidement lu deux petits ouvrages pour amorcer mes recherches quant à mon projet de livre témoignage-enquête, ce qui m'a suffisamment révolté pour m'empêcher de lire autre chose avant le mois suivant, malgré une Pile à Lire conséquente.
  Mai fut plus léger avec un seul gros roman que j'ai pris le temps de savourer.
  Quant à juin, ce fut le mois qui déclenchait mes vacances et donc, des lectures un peu plus particulières.


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  La culture du viol
, Marlène Schiappa, Préface de Raphaël Enthoven, 
coll. Mikros essais, Editions de l'Aube, 2018

  Je peux tout à fait vous recommander cet essai qui est d'une clarté et d'une nécessité folles. D'autant si vous avez été victime de crimes sexuelles, il vous reboostera bien plus qu'un livre d'acceptation de soi, de la douleur ou que sais-je, je pense.
  Le titre se suffit à lui-même, je ne pourrai vous en faire un meilleur résumé. Si vous êtes déjà sensibilisés à la cause, il nous vous apprendra rien de nouveau, mais pour une entrée en matière ou pour ouvrir les yeux de personnes qui ne veulent rien voir, il est tout à fait adapté.
★★★★★

  Un beau jour... Combattre le viol, Clémentine Autain, coll. Ceux qui marchent contre le vent, Editions Indigène, 2011

  Je n'apprécie pas particulièrement Clémentine Autain et le discours de ses prises de positions alors ma lecture a été en demie-teinte. Si j'ai été d'accord sur les trois-quarts du manifeste (la présentation des faits), je trouve le diagnostique et la solution bien trop vagues... tout englober dans un besoin nécessaire de féminisme n'est pas suffisamment précis. En effet, des rapports égaux entre les hommes et les femmes seraient déterminants dans la lutte contre le viol, mais que faire contre tous les pervers narcissiques actuels ? La solution à long terme est là, mais devons-nous nous sacrifier au présent ? Peut-être.
★★★☆☆

  La vérité sur l'affaire Harry Quebert, Joël Dicker, Editions de Fallois, 2014

  Il s'agit là d'un auteur qui me font envie depuis pas mal d'années, mais je n'avais encore jamais pris le temps de me pencher dessus. Etant donné que c'était par rapport à la tournée promotionnelle de ce roman que j'ai pu découvrir la personne de Joël Dicker, il m'a semblé naturel de commencer par celui-ci.
  L'histoire est remarquablement orchestrée; dès que nous avons une idée du meurtrier de Nola, le doute nous tombe dessus et nous nous lançons dans une autre piste, jusqu'à nous demander si la jeune fille est réellement morte, alors que nous savons que c'est le cas. Quoiqu'il en soit, l'histoire suit tranquillement son cours sur les trois-quarts du roman, qui fait que nous nous demandons si nous allons avoir la réponse un jour puis, tout s'accélère ! et je n'ai pas été déçue par le, que dis-je ! les twists ! — Petite fierté personnelle d'avoir découvert une partie du mystère.
  Le seul point négatif tient en Harry, personnage intéressant dans ses habits de mentor de Marcus, mais insupportable en pleurnichard contemporain. Toutefois, peut importe. Le reste étant d'excellente facture, même si parfois un tantinet caricatural (notamment Gahalowood et son rôle de flic ronchon au grand cœur), je ne peux que vous recommander cette lecture qui nous fait réfléchir sur les représentations que nous nous faisons des autres.
★★★★☆

  Les abolitions de l'esclavage, Marcel Dorigny, coll. Que sais-je ?, Editions Presses universitaires de France, 2018

  En vacances, j'aime bien avoir un petit quelque chose d'intelligent à lire au milieu du reste qui me sert à déconnecter. Ainsi, profitant de ma destination (la Martinique), je me suis dit qu'il serait opportun d'en savoir davantage sur l'histoire des abolitions de l'esclavage, puisque nous n'en avons quasiment pas parlé au cours de ma scolarité — et je doute que, dix ans plus tard, nous en parlons bien plus.
  La collection des Que sais-je ? est excellente en la matière, parfaite pour mettre un bon pied dans un sujet avant de l'approfondir si le cœur nous en dit, nous donnant toutes les informations en condensé, sans pour autant bâcler le travail à coups de dates qui se juxtaposent, s'enchainent et nous ennuie.
  J'ai donc pu en apprendre beaucoup sur un pan de notre histoire outre-mer (puisque j'ai déjà été familière avec celle du commerce triangulaire et les retombés du commerce lié à la traite négrière pour la métropole), mais également sur d'autres pays pratiquants l'esclavage, principalement dans l'arc caribéen et en Amérique du sud.
  Je peux tout à fait vous le recommander, même s'il s'intéresse principalement à la France et aux  Antilles (avec des passages nécessaires en Angleterre) et, plus généralement, l'ensemble de cette collection.
★★★★★

  Il n'est jamais trop tard pour éclore, Carnet d'une late bloomer, Catherine Taret, Editions J'ai lu, 2018

  Pour être honnête, je ne suis pas friande de bouquins de développement personnel. Peut-être parce que j'estime me connaitre suffisamment et savoir quoi faire lorsque ça ne va pas. Toujours est-il que je suis tombée sur ce petit ouvrage qui m'a semblé sympathique pour passer les vacances, alors que je réfléchis à ma vie et au sens qu'elle prend, que je cherche à lui donner. Je ne suis pas (encore) dans la case de ces late bloomers, du haut de mes presque vingt-sept ans, mais je comprends tout à fait la problématique qui a alimenté ce livre : ne pas appartenir à une case et ne pouvoir se contenter d'essayer d'entrer dans l'une d'elles.
  En tout cas, je l'ai adoré. Il peut vous apprendre à relativiser; vous donner ce petit coup de boost dont vous auriez peut-être besoin; vous faire comprendre que l'acharnement n'est pas forcément le bon choix; vous prouver que le bon choix, c'est avant tout être vous-mêmes.
  Une longue quête qui résonnera en beaucoup et qui fait du bien au moral.
★★★★☆

  Silhouettes ou l'art de l'ombre, Emma Rutherford, Editions Citadelles & Mazenod, 2009

  Un ouvrage qui m'a été offert il y a un certain temps et qui, à l'époque, m'avait déjà beaucoup plu. Amateurs de belles images, vous allez être servis ! de plus, les explications et l'histoire autour de cet art sont tout à fait intéressantes. Aussi, si vous vous intéressez à la sociologie des siècles passés, je pense que vous pouvez tout à fait y trouver un intérêt, dans l'étude des divers types de familles usant de silhouettes pour figurer leur vie.
★★★★☆

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  Il est un cas à part. Celui de cet ouvrage : Les 120 journées de Sodome, Sade, Editions 10/18, 2014. Impossible pour moi d'aller plus loin que la centaine de pages. Si j'ai voulu lire du Sade, c'était surtout pour ne pas mourir idiote et avoir lu un peu de tous les "monuments" de notre littérature nationale... et je n'ai pas compris pourquoi le marquis s'est trouvé hissé à ce niveau.
  Si déjà certains actes ont pu me déranger dans le fond — attention ! il faut savoir contextualiser les choses : les libertins d'alors n'avaient strictement rien à voir avec le sens contemporain qui se veut "épicurien", en quelque sorte. Le malsain y est roi, le seul plaisir compte, quitte à passer par le meurtre, le viol, l'inceste etc. —, c'est également la forme qui pèche. Enfin, la forme, c'est un bien grand mot car il n'y en a aucune. Nous retrouvons en fait une liste de sévices, une liste d'actes pratiqués, tout est extrêmement mécanique et nous avons plus la sensation de phrases tournées pour choquer pour le plaisir de choquer plus qu'autre chose.
  Indigeste au possible, trop de personnages, un véritable bordel d'une lourdeur incroyable.
  Du coup, si vous, vous appréciez Sade, ça m'intéresserait vraiment de savoir pourquoi et s'il a écrit quelque chose de plus plaisant — ce qui m'étonnerait fortement.

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  Encore dans ma PAL :
  • L'Ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche, Cervantes, coll. Folio Classique, Editions Gallimard, 2008
  • Si le verre est à moitié vide, ajoutez de la vodka, Marion Michau, Editions J'ai Lu, 2018
  • Nous sommes tous féministes, suivi des Marieuses, Chimamanda Ngozi Adichie, coll. Folio, Editions Gallimard, 2015
  • Beaux et damnés, F. Scott Fitzgerald, coll. Folio, Editions Gallimard, 2014
  • J'aime le sexe mais je préfère la pizza, Thomas Raphaël, Editions J'ai Lu, 2018
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  Un trimestre bien chargé, comme vous l'avez remarqué et qui annonce d'autres mois bien remplis, non seulement de lectures féministes ou autres études sur les agressions sexuelles, mais également de lectures plus légères sur ce type de développement personnel basé sur le témoignage, et non le conseil.
  De fait, si vous avez des lectures à me conseiller en ce sens, je suis preneuse !

—xoxo